Publié le 31 janvier 2011
Réseaux sociaux. Deux mots qui résonnent fort. Incontournables. Ils sont au coeur de nos vies. Le 9 février prochain, l'IRB fera paraître un dossier fascinant sur le sujet. Pour vous faire languir, vous aguicher et vous provoquer, disons que les réseaux sociaux ne contribuent pas au bonheur. Désolé.
En fait, l'IRB des personnes qui sont abonnées à un réseau social ou plus est deux points inférieurs à celui des personnes qui ne le sont pas. Pas de quoi fouetter un chat me direz-vous? Effectivement, mais une indication claire que l'utilisation des réseaux sociaux n'est pas une fin en soit pas plus qu'une obligation. La vie et la satisfaction qu'on en retire peuvent s'exprimer en dehors de cette mouvance.
On pourrait même pousser le raisonnement jusqu'à parler, dans ce cas-ci, d'une certaine forme d'indépendance, d'autonomie. De liberté presque. L'étude dévoilera d'autres données pouvant appuyer cette vision. Je ne vous soumets qu'un autre élément additionnel. La pression. Celle de s'inscrire et d'utiliser ces réseaux. 39% la ressentent, qu'elle provienne du milieu social, professionnel ou les deux.
Alors oui, les réseaux sociaux apportent leur lot d'avantages, c'est indéniable, mais on n'est pas obligé d'aller jusqu'à en beurrer nos toasts le matin.