Publié le 19 décembre 2007
Se pourrait-il que nous aimions nous plaindre? Que nous serions comme un Mini Wheat, ne sachant jamais quel côté montrer, le côté rebel et chialeux ou le côté docile et gentil?
Est-ce une tare qui me colle à la peau ou bien je baigne dans un milieu de frustrés qui se valorise à décrier ce qui, pour la plupart des mortels, semblent pourtant positifs et valorisants?
Toujours est-il qu'avec seulement 12% des Québécois qui affirment que l'approche de la période des Fêtes les rend moins heureux comparativement à 37% qui prétendent le contraire, je trouve que les 12% en mènent large tellement je les entend souvent se plaindre.
Mais si l'on regarde la période des Fêtes d'un point de vue essentiellement philosophique ou seulement même humain, n'est-ce pas là l'occasion rêvée de faire plaisir? Faire plaisir de sa personne, entendons-nous. De toute façon, personne n'y échappe. Les Fêtes, c'est un incontournable, alors aussi bien s'en accomoder et en profiter pour donner. Juste un petit peu. Je suis convaincu que vous vous sentirez mieux et que vous y prendrez goût.
Dans le fond, posons-nous une seule question. À qui pourrais-je faire vraiment plaisir? À qui pourrais-je apporter une aide significative? Pas toujours évident n'est ce pas?
Alors, identifiez cette personne et ensuite, passez aux actes. Après, la période des Fêtes ne vous apparaîtra probablement plus de la même manière.