Publié le 7 octobre 2011
On entend souvent dire que dans les relations sentimentales, c'est d'abord et avant tout la femme qui prend les choses en main. Les données toutes fraîches de l'IRB tendent à confirmer cette attitude alors que les femmes sont plus nombreuses que les hommes (37% vs 30%) à prétendre être celles qui provoquent les choses dans une relation sentimentale plutôt que les attendre.
Cette attitude fonceuse s'avère nettement payante sur le bonheur de ceux et celles qui l'adoptent, car l'IRB des personnes qui, dans leur vie sentimentale, préfèrent provoquer les choses est 7 points plus élevés que celui des personnes qui préfèrent les attendre (80,20 vs 73,50).
Ces données réfèrent également aux notions de transparence, d'authenticité et d'entièreté des femmes qui sont nettement plus nombreuses que les hommes à ne pas tolérer, dans une relation sentimentale, les zones grises, les non-dits, les inconforts.
Les données de l'IRB démontrent aussi assez clairement que les personnalités rebelles sont définitivement plus portées à provoquer les choses dans leurs relations sentimentales (51%) que celles qui ne le sont pas (23%). L'audace et l'initiative s'avèrent toujours les meilleures façons de faire bouger les choses, de les faire avancer, de les changer alors que l'attentisme ne mène, au mieux, qu'au statu quo.
C'est vrai dans les relations sentimentales, c'est également vrai dans l'ensemble des sphères de la vie.