Étouffante la vie!
COMMUNIQUÉ
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Sortir du cadre
Étouffante la vie !
Québec, le 7 septembre 2011 Une récente enquête de l'IRB (www.indicedebonheur,com) indique que plus de la moitié des Québécois (51%) se sentent souvent ou quelquefois prisonniers de leur cadre de vie sans pouvoir avoir la chance de s'en sortir.
Cette impression d'étouffement influence d'ailleurs radicalement le niveau de bonheur de ces personnes, l'IRB de ces derniers chutant brutalement à 60,30, soit 25 points de moins que celui des personnes qui ne ressentent aucunement cette impression (85,90).
Pour Pierre Côté, président et fondateur de l'IRB, « cet écart est énorme et donne bien la mesure de l'encadrement de nos vies et surtout, la difficulté de la changer. Ces données appuient la théorie de l'IRB voulant que l'atteinte d'un certain niveau de bonheur s'exprime autant en frayant à l'extérieur du cadre qu'en se cantonnant et s'obstinant toujours à l'intérieur de ces quatre côtés ».
Opérer un changement majeur
Dans le même ordre de pensée, l'enquête révèle que près du tiers des Québécois (31%) souhaitent opérer un changement majeur dans leur vie. Le faible IRB moyen de ces personnes (66,70) confirme et justifie cette volonté.
L'amertume, cancer du bonheur
Par ailleurs, l'enquête de l'IRB permet d'apprendre que l'amertume rejoint les regrets à titre de cancer du bonheur. Un abîme de 25 points sépare l'IRB de ceux qui affirment ressentir souvent de l'amertume face à la vie ou la société par rapport à celui des personnes qui n'en ressentent jamais (60,00 vs 85,10). Malheureusement, la moitié des Québécois disent ressentir souvent ou quelque fois de l'amertume.
Pour Pierre Côté, « ces données indiquent qu'il arrive des moments où il faut lâcher prise, accepter et comprendre. L'amertume ne doit surtout pas être un frein à la détermination et à la volonté d'arriver à ses fins, mais un signe que l'attitude adoptée pour y arriver n'est pas la bonne ».
Se confier pour se libérer
Cette même enquête de l'IRB fait ressortir l'impact saisissant sur le bonheur de pouvoir compter sur un réseau d'amis véritables, mais surtout, de s'en servir lorsque des problèmes surgissent. Un Québécois sur deux s'auto censure et ne veulent ou ne peuvent confier leurs problèmes à leurs amis. Cette attitude s'avère terriblement néfaste pour le bonheur alors que l'enquête de l'IRB fait ressortir clairement la justesse du dicton disant que « parler d'un problème, c'est déjà en partie le régler ».
Pour tout savoir sur les résultats de cette enquête de l'IRB et consulter les graphiques, rendez-vous sur le site www.indicedebonheur.com
Cette enquête a été réalisée entre le 19 juin et le 28 juillet 2011 auprès de 2355 répondants, ce qui lui confère une marge d'erreur de 1,8% 19 fois sur 20.
L'IRB (www.indicedebonheur.com) s'impose de plus en plus comme un véritable observatoire social qui explore et détermine les caractéristiques, attitudes, attributs et comportements qui favorisent l'amélioration du bonheur des collectivités et de ceux et celles qui la composent. L'IRB souhaite fournir à ses lecteurs, aux médias et aux décideurs une information toujours de grande qualité qui contribuera à faire du bonheur une variable qui compte et qui complétera les variables économiques et financières existantes.
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Source : Pierre Côté, IRB*
*L' IRB est une marque enregistrée appartenant à Côté communication conseil
Information et entrevues :
Pierre Côté
Président et fondateur, IRB
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