L'entrainement: Question de conditionnement et de priorisation!
L'entrainement : Question de conditionnement et de priorisation!
Même si 39% des Québécois se disent préoccupés par leur niveau de forme physique et souhaitent l'améliorer, ils sont toutefois le double (78%) à avouer ne pas faire suffisamment d'exercice. C'est beaucoup. Encore là, plus on considère que l'on fait suffisamment de l'exercice physique, plus cette attitude rayonne sur le niveau de bonheur.
Deux grandes raisons sont la cause de ces résultats. D'abord la discipline (38% des mentions). Ensuite le temps (35% de mentions). Personne ne sera surpris de voir ces deux raisons dominer toutes les autres.
Et pour les contrer, il n'existe d'autres solutions que de travailler son conditionnement, mental surtout et, davantage encore, prioriser dans sa vie l'activité physique et/ou l'entraînement. Évidemment, si le goût et l'intérêt n'y sont pas, oubliez tout et acceptez votre sort. Vous ne vous en porterez que mieux et éviterez de développer un sentiment de culpabilité inutile.
Le manque de temps s'avère plus criant chez les 35-44 ans, ceux qui sont dans le « crunch » de leur vie. Également, plus les répondants affichent des revenus ainsi qu'un niveau de scolarité élevés, plus le temps devient la raison première. Elle est mentionnée par 47% des personnes qui déclarent des revenus de 80 000 $ et plus. Le travail, sans aucun doute, gruge ce temps précieux.
Mais malgré toute la bonne volonté du monde, il arrive souvent que l'idée de la sensation de bienfait, de bien-être et de satisfaction suivant un entraînement n'arrive à compenser le coût de l'effort pour le faire.