Une forte majorité de répondants (70%) considèrent que les différentes communautés culturelles modifient positivement la dynamique sociale de leur ville. Cette donnée est encourageante, car plus les répondants se disent en accord avec cette affirmation, plus leur indice de bonheur s’en trouve bonifié. 

Cette tolérance décroit légèrement avec l’âge des répondants et les non francophones sont nettement plus nombreux que les francophones à partager cet énoncé (80% vs 68%). 

Sans surprise, c’est à Montréal que l’on retrouve le plus haut niveau d’accord avec cet énoncé et c’est en région qu’il est le plus faible.