Publié le 24 mars 2011
C'est lundi prochain que sera diffusé le 10e et dernier épisode de la série Naufragés des villes à RDI, une sorte de rétrospective.
Je m'en voudrais de ne pas utiliser la tribune que m'offre mon blogue pour dire un gros, gros merci à tous ceux et celles qui ont été touchés, sensibilisés par les propos de cette série. Tous les commentaires reçus, lus ou entendus, tant dans les médias, les réseaux sociaux, que par les personnes qui m'ont si gentiment abordé dans la rue ou dans des lieux publics, ont été positifs et flatteurs. Mon facteur #8 d'influence du bonheur, la reconnaissance, se porte bien, merci.
Si Naufragés des villes peut contribuer, ne serait-ce qu'un peu, à modifier les perceptions, diminuer les jugements et nuancer nos propos, ça serait déjà une grosse victoire. Si l'on pouvait obliger nos dirigeants, tant ceux politiques que de la finance, des affaires et de l'économie, à faire un stage d'un mois au cur de la pauvreté, la société en entier changerait. . . Radicalement, et pour le mieux.
Je veux aussi remercier tous les artisans qui ont participé à cette série magnifique et plus particulièrement Marc St-Onge de Blimp télé, qui a redéfini la façon de faire du documentaire et trouver une façon captivante de parler d'un sujet qui ne l'est pas.
Pour finir, mon plus gros merci s'en va à tous ceux et celles qui travaillent dans le milieu social et communautaire à aider les plus démunis. Ils et elles ont toute mon admiration. Ils et elles font un travail que je me sens incapable de faire, mais qui est pourtant essentiel dans une société comme la nôtre. Que l'on puisse prendre quelques minutes pour les remercier représente la moindre des choses.
En espérant que d'autres réseaux rediffuseront cette série magnifiquement réalisée, je me considère privilégié d'en avoir fait partie.