Les préjugés s'estompent
COMMUNIQUÉ
Pour diffusion immédiate
Réseaux de rencontres
Les préjugés s'estompent
Québec, le 7 décembre 2009 Le tiers des répondants (33 %) à l'enquête de l'IRB (www.indicedebonheur.com) affirment qu'ils ont déjà été abonnés à un réseau de rencontres, ce qui explique en bonne partie leur succès.
Ces réseaux de rencontres font maintenant partie du décor et les préjugés entourant ceux et celles qui les utilisent s'estompent. Ainsi, à peine 14 % des répondants considèrent que ces réseaux sont artificiels et inutiles tandis que 22 % croient qu'ils comblent un besoin et que la majorité (58 %) voit dans ces réseaux une option additionnelle de faire des rencontres.
Toutefois, certains doutes persistent sur la valeur et la longévité des rencontres faites par l'entremise de ces réseaux, plus du tiers (38 %) affirmant qu'elles sont vouées à l'échec à moyens et longs termes.
Solitude et bonheur ne font vraiment pas bon ménage
On le sait, la solitude est difficile à vivre et, conséquemment, pèse lourd sur le bonheur. Ainsi, les personnes qui ont déjà été abonnées à un réseau de rencontres affichent un IRB moyen de 73,90 alors qu'il est de 79,50 pour celles n'ayant jamais tenté cette expérience.
L'étude de l'IRB nous apprend également que notre niveau de bonheur est influencé par l'attitude que l'on développe face à la solitude comme en témoigne le tableau suivant :
IRB en fonction de son attitude face à la solitude
Pour Pierre Côté, fondateur de l'IRB, « il est clair que la solitude est une mal-aimée difficile à apprivoiser, mais également que la société ne la valorise aucunement. L'image du bonheur et les stéréotypes qu'on nous présente mettent toujours en valeur le couple ou la petite famille alors que la solitude est souvent associée au malheur ou aux épreuves. Les personnes seules ont souvent l'impression d'être en marge de cette société archétypée ».
Non à la solitude, mais pas à n'importe quel prix
L'étude de l'IRB nous apprend toutefois qu'il y a des limites que la majorité n'est pas prête à franchir afin d'éviter la solitude. Ainsi, alors que le quart des répondants (26 %) accepteraient de vivre une relation sentimentale davantage confortable, mais sans passion plutôt que de se retrouver seul, la grande majorité (70 %) se situe à l'opposé et n'accepterait pas une telle situation
Cette dernière attitude est d'ailleurs nettement favorable au bonheur, car l'RB moyen de ce groupe est 5 points supérieurs à celui des autres.
Pour tout savoir sur les résultats de cette enquête de l'IRB et consulter les graphiques, rendez-vous sur le site www.indicedebonheur.com
Cette enquête a été réalisée entre le 22 septembre et le 3 novembre 2009 auprès de 1 023 répondants, ce qui lui confère une marge d'erreur de 3,1 % 19 fois sur 20.
L'IRB (www.indicedebonheur.com) s'impose de plus en plus comme un véritable observatoire social qui explore et détermine les caractéristiques, attitudes, attributs et comportements qui favorisent l'amélioration du bonheur des collectivités et de ceux et celles qui la composent. L'IRB souhaite fournir à ses lecteurs, aux médias et aux décideurs une information toujours de grande qualité qui contribuera à faire du bonheur une variable qui compte et qui complétera les variables économiques et financières existantes.
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Source : Pierre Côté, IRB*
*L' IRB est une marque enregistrée appartenant à Côté communication conseil
Information et entrevues :
Pierre Côté, fondateur, IRB Chercheur et analyste (418) 524-7375 info@indicedebonheur.com