Moins, c'est mieux!

Il en est toujours ainsi lorsqu'il s'agit d'amour.

Si la moyenne de partenaires sexuels des Québécois est de 11,1, il en est autrement pour le nombre d'amoureux ou d'amoureuses qu'ils ont connu. Seulement 12% affirment en avoir eu trois ou plus. La grande majorité n'ont connu le grand amour qu'à une ou deux reprises.

 
Et dans ce cas comme dans celui du nombre de partenaires sexuels, les personnes qui affichent l'IRB le plus élevé sont celles qui en ont eu le moins, mais qui ont goûté à ce bonheur amoureux. Dans ce cas contraire, celui des personnes qui n'ont jamais connu l'amour, ils affichent un net déficit de leur niveau de bonheur, jusqu'à 7 points avec ceux qui en ont connu qu'un seul.

 
Et une fois de plus, comme une constance, l'incidence de l'argent ou des revenus déclarés par les répondants influence les résultats. Moins ces revenus sont élevés, plus  ils sont nombreux à n'avoir jamais connu l'amour.