Publié le 27 avril 2011
Chaque fois que le palmarès annuel des villes IRB est diffusé, on me pose constamment la question pourquoi telle ville occupe telle position. Depuis cette année, je peux répondre. Et cette réponse, je la vends. Eh oui. Shame on me. Pourquoi? Parce que la réponse est le fruit de cinq ans d'effort à constituer une banque de données unique en son genre.
Pourquoi Montréal est en 35e position sur 35 dans le palmarès cumulatif? C'est simple. Parce que sur les 24 facteurs d'influence du bonheur, 14 s'avèrent en dessous de la moyenne nationale dont les sept premiers. En comparaison, Sainte-Julie, la première au classement, n'a que 4 facteurs en dessous de la moyenne québécoise et aucun dans les douze premiers.
Vous en doutez! Vous croyez que j'invente, que j'exagère! Allez. Je rends accessible à tous le rapport de Montréal, le diagnostic devrais-je dire, que permet maintenant l'IRB. Amusez-vous! Consultez-le! Twittez-le! Facebookez-le! Analysez-le! Vous comprendrez. Vous saisirez ainsi toute la portée et les possibilités qu'offrent l'IRB et sa banque de données.
Ça devient complètement fou tout ce qui est maintenant possible. Une véritable radiographie du bonheur selon l'âge des citoyens, leur sexe, etc., et ce, en fonction des 24 facteurs d'influence du bonheur. Rien de moins. Si vous connaissez une autre ville sur la planète où l'on peut avoir les mêmes données, dites-le-moi.
L'IRB devient un outil puissant lorsque l'on désire l'amélioration des collectivités dans lesquelles nous vivons. La même chose est désormais disponible pour les entreprises avec l'IRB au travail.
Mais bon! Il faut y aller doucement avec le bonheur. Ne pas brusquer les gens, les dirigeants surtout. Demeurez zen devant le scepticisme affiché. Mais je sens que les choses évoluent.
Lentement, mais sûrement.