Qui dit réseau dit rencontre!
Qui dit réseau dit rencontre!
Et ces rencontres n'ont pas toutes des buts amicaux.
Si la disparition de certains réseaux de rencontre peut s'expliquer par une épuration d'un secteur où trop de joueurs courtisaient les mêmes clientèles, elle s'explique également par la dimension « dating » mise de l'avant par les différents réseaux sociaux, Facebook en tête.
Ainsi, le quart des abonnés à un réseau social admet s'en servir pour favoriser une rencontre sentimentale. Cette proportion grimpe même à 40% chez les 18-24 ans et les célibataires. Lorsqu'on sait que près de trois Québécois sur quatre sont abonnés à Facebook et presque 90% des 18-24 ans, ce réseau, par la force de son nombre, devient l'un des plus puissants site de rencontre également.
Ces données ne sont pas surprenantes lorsqu'on apprend que 74% des abonnés Facebook sont membres de ce réseau essentiellement pour des raisons personnelles alors que seulement 3% le sont pour des motifs essentiellement professionnels.
Dans le cas de ces derniers, on peut percevoir que leur inscription à Facebook ne les enchante guère et semble un peu imposée, obligatoire, nécessaire. Ainsi, l'IRB de ces personnes n'est que de 66,60, soit dix points plus bas que celui des personnes qui sont abonnés à Facebook essentiellement pour des raisons personnelles, donc davantage par choix.