Soyons gentils, c’est bon pour l’humeur!

Soyons gentils, c’est bon pour l’humeur!

La gentillesse et le positivisme des gens que l’on côtoie sur une base quotidienne s’avèrent le facteur le plus influant sur l’humeur des gens. Et si c’est bon pour l’humeur, il y a fort à parier que ça le soit aussi sur le bonheur. Au Québec, plus de la moitié des gens (53%) considèrent que les gens qu’ils côtoient quotidiennement sont gentils et positifs. Pour 12% de la population cependant, ces gens sont plutôt détachés et indifférents (8%) ou même bourrus et négatifs (4%) 

Ce résultat en confirme d’autres et justifie, en quelque sorte, que le facteur civilité apparaisse au 7e rang parmi les 25 facteurs de bonheur Léger. Ce même facteur représente également l’une des huit dimensions essentielles dans l’équation du bonheur au travail. 

  • Le sommeil, deuxième facteur de l’humeur 

Sur les six facteurs de l’humeur, le sommeil arrive au 2e rang. À ce titre, 34% de la population avoue dormir comme des anges alors que 17% dorment mal (12%) et font même de l’insomnie (5%).  

Suivent, dans l’ordre d’importance, les quatre autres facteurs de l’indice de l’humeur Léger 

  • Les déplacements (sont-ils fluides ou lourds) 

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, seulement 9% considèrent que leurs déplacements, peu importe le mode, sont pénibles ou même l’enfer. Ce pourcentage n’atteint même que 11% pour la ville de Montréal alors que 21% affirment que leurs déplacements sont WOW. N’empêche, la fluidité de nos déplacements n’est pas sans affecter notre humeur.  

  • La température (au Québec, c’est important) 

La température joue sur notre humeur, personne n’en sera surpris. C’est le 4e facteur d’influence de notre humeur. Malgré notre propension à se plaindre de la température, la majorité de la population s’en accommode. Depuis le 7 décembre, 22% ont trouvé la température de splendide et 49% de convenable. 

  • Le déjeuner (a-t-on bien déjeuné) 

Si près de la moitié des Québécois affirment prendre un bon déjeuner (45%), il n’en demeure pas moins que pour 20% d’entre eux, le déjeuner n’existe pas. Sans compter ceux qui déjeunent à la sauvette (11%) avec des conséquences sur leur humeur.  

On dit souvent que le déjeuner est le repas le plus important de la journée et en plus, il contribue à notre humeur. Il représente le cinquième facteur d’influence de l’humeur. 

  • Les nouvelles (sont-elles décourageantes ou pas) 

La teneur des nouvelles que l’on entend, lit ou écoute représente le sixième et dernier facteur d’influence de l’humeur. Si les Québécois sont seulement 6% à les trouver très décourageantes, ils sont plus du double (15%) à les trouver plutôt encourageantes.  

Mais l’élément qui ressort de ces résultats c’est que près d’un Québécois sur deux (47%) trouve les nouvelles plutôt insignifiantes ce qui en dit long sur l’information qui circule dans nos médias.   

Léger dévoile les résultats exclusifs de l’indice de l’humeur quotidien, résultats basés sur plus de 20 000 répondants depuis le 7 décembre dernier.