Travail et bonheur, une paire indissociable !

Québec, le 15 février 2007 - Pour la première fois, une enquête permet de quantifier l'impact considérable du travail sur le niveau de bonheur des gens. Ainsi, l'IRB moyen (indice relatif de bonheur) des personnes qui considèrent avoir un travail qu'ils aiment se situe à 78,90, alors qu'il chute à 70,70 pour celles qui disent aimer plus ou moins ce travail, et à 64,70 pour les personnes qui n'aiment carrément pas leur travail.

60% des répondants qui disent aimer leur travail :    IRB de 78,70
22% des répondants qui disent aimer plus ou moins leur travail : IRB de 70,70
7%   des répondants qui disent ne pas aimer leur travail :   IRB de 64,70

Les résultats de l'enquête exclusive de l'IRB, que vous pouvez consulter au www.indicedebonheur.com, démontrent également que l'appréciation de son travail est directement proportionnelle à l'âge ainsi qu'aux revenus des personnes.

Un travail qu'on aime, c'est aussi des collègues qu'on apprécie !

La qualité des relations de travail avec les collègues s'avère aussi importante et influence grandement le niveau de bonheur des gens. Ainsi, on constate un écart de 13,40 points entre l'IRB des personnes qui évaluent ces relations comme étant plutôt bonnes avec celui des personnes qui les considèrent plus ou moins bonnes ou mauvaises.

Mais au Québec, réjouissons-nous, car 80% des répondants évaluent les relations avec leurs collègues de travail de plutôt bonnes !

La reconnaissance, le meilleur investissement de l'employeur !

À peine plus de la moitié des Québécois (52%) considèrent que leur patron ou employeur sont plutôt reconnaissants envers leur travail, alors que 34% les considèrent plus ou moins reconnaissants et 5% aucunement reconnaissants. Pourtant, la reconnaissance au travail ne demande que bien peu d'efforts financiers et rapporte gros comme en font foi les données du tableau suivant :

IRB moyen des personnes qui reçoivent de la reconnaissance au travail :  79,60
IRB moyen des personnes qui en reçoivent plus ou moins :     71,70
IRB moyen des personnes qui n'en reçoivent pas du tout :      66,70

Doit-on alors se surprendre, que 74% des gens considèrent qu'il est impossible d'être pleinement heureux sans avoir un travail qui les satisfasse, et 71% sans obtenir de la reconnaissance de leurs paires et de leurs proches ?

Pour consulter tous les résultats de cette enquête de l'IRB : www.indicedebonheur.com

Cette enquête a été réalisée entre le 18 décembre 2006 et le 15 janvier 2007 auprès de 1359 répondants, ce qui lui confère une marge d'erreur de 2,7%. Tous les résultats ont été pondérés par la firme de sondage l'Observateur afin que ceux-ci soient conformes à la réalité socio démographique du Québec selon les plus récentes données de Statistiques Canada.

Figurant parmi « Les idées fameuses de 2006 » de La Presse, l'IRB s'impose de plus en plus comme un observatoire social incontournable. Rappelons que l'indice relatif de bonheur (IRB) provient d'une auto évaluation que chacun fait de son propre état. Cet indice, pour la première fois, évalue le niveau de bonheur des collectivités et lui confère une notion plus concrète qu'il devient possible de comparer et dont on peut suivre l'évolution dans le temps. L'IRB est un complément utile dont le caractère novateur et humain le situe en marge du discours économique ambiant.

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Source :
Pierre Côté, IRB*
*L'IRB est une marque de commerce appartenant à Côté communication conseil

Information et entrevues :
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Jean-Sébastien Brousseau
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