Un travail qu'on aime, oui, mais du temps pour soi aussi!

Plusieurs semblent prêts à payer pour avoir plus de temps.

Réalité contemporaine sans doute, mais plus du tiers des répondants (38%) admettent qu'ils seraient prêts à travailler moins d'heures au prix de subir une baisse de salaire en conséquence. Pas certain que trente ans auparavant, l'IRB aurait obtenus les mêmes chiffres.

Cette donnée démontrent une certaine difficulté de composer avec les nombreuses responsabilités qui incombent à tous et chacun et le désir de pouvoir prendre plus de temps pour les assumer correctement.

Les personnes les plus nombreuses à souhaiter cette réalité (moins d'heures travaillées, mais moins de salaire en conséquence) se retrouvent parmi les celles qui, justement, accordent trop d'importance à leur travail.  Il s'agit des personnes situées au cœur de leurs carrières professionnelles (35-54 ans), celles ayant des enfants à la maison, possédant une maîtrise ou plus et affichant les revenus les plus élevés.