Une société heureuse, mais en sursis

COMMUNIQUÉ

Pour diffusion immédiate

 

L'IRB à trois ans

Une société heureuse, mais en sursis

Québec, le 10 novembre 2009.- L'IRB a trois ans (www.indicedebonheur.com).  Trois ans qui auront permis d'instaurer au Québec un indice novateur et crédible. Trois ans qui auront fait du bonheur une variable objective et mathématique permettant une analyse différente de la société et des différents éléments qui la composent. Trois ans qui auront permis de compléter 24 enquêtes, d'interroger plus de 43 000 Québécois, de poser 565 questions, de rédiger et diffuser 265 articles gratuitement, sans subvention, sans abonnement ni publicité.

Heureux, mais inquiet

Pour Pierre Côté, président fondateur de l'IRB, il est clair que le bonheur des Québécois se porte bien. Il est stable malgré quelques petites fluctuations cycliques reliées aux saisons. L'IRB moyen des Québécois varie entre 73,00 et 78,00.

Mais du même coup, Pierre Côté se dit inquiet. Sa connaissance unique de la société québécoise lui indique que l'individualisme, le désengagement, la faible mobilisation, la rupture du lien de confiance envers les différents pouvoirs, l'absence de projets rassembleurs ainsi que de leaders capables de les porter sont quelques-uns des symptômes d'une société apathique, passive et endormie. Cette situation ne peut qu'avoir des répercussions négatives à moyens et longs termes sur l'état d'une société.

« Malgré une ouverture sans pareille sur le monde, on sent que nos univers se rapetissent sans cesse et se limitent de plus en plus à notre petit environnement immédiat, à notre nombril.  Le sens du collectif est en train de disparaître » affirme Pierre Côté pour qui le modèle actuel est à revoir. « La société québécoise fait du sur place. On a de la difficulté à se débarrasser des vieux modèles et l'on manque de courage pour se remettre en question et faire place à l'audace et l'innovation ».

Un monde du travail à repenser

L'IRB, durant ses trois années, à consacrer une partie importante de ses recherches sur le travail et son incidence sur le bonheur et il ne fait aucun doute que les pratiques sont à revoir et doivent mettent enfin l'emphase sur le capital humain.

« Il est temps que les organisations comprennent que le travail n'est pas qu'un salaire que l'on gagne, mais aussi et surtout un milieu où l'on vit et que le capital humain sera toujours celui sans lequel aucune entreprise ne peut fonctionner » affirme Pierre Côté qui constate qu'aussitôt que l'on aborde la notion de bonheur dans le milieu de travail, les dirigeants se rebutent et refuse de la considérer sérieusement, principalement les hommes.

Un observatoire social indépendant

Durant ces trois années, l'IRB s'est imposé comme un observatoire social unique.
On lui doit, entre autres, de nombreux palmarès, dont celui des villes les plus heureuses, les 24 facteurs d'influence du bonheur, la théorie des 5R du bonheur au travail, les 12 valeurs des Québécois face au travail et la diffusion de nombreux résultats d'enquêtes sur des éléments qui composent et définissent notre société.

Une campagne de financement

Pour continuer son travail, l'IRB est à la recherche de financement et sollicite l'aide financière des particuliers et des entreprises.  Une aide qui permettra d'assumer une partie des coûts reliés à l'exploitation du site, de le dynamiser, de pousser un cran plus loin la réflexion, et de rendre chaque nouvelle visite plus intéressante que la précédente.

Il est possible de faire une contribution à l'IRB en vous rendant sur le lien suivant http://www.indicedebonheur.com/financement.htm

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Source : Pierre Côté,
     Fondateur, IRB*
     Chercheur et analyste
*L'IRB est une marque de commerce enregistrée appartenant à Côté communication conseil

Information et entrevues :
Pierre Côté
418 524-7375
info@indicedebonheur.com