Villes performantes. Bonheur à la hausse.
Les villes québécoises ont bien compris leur rôle.
Malheureusement pour le milieu municipal, nous entendons davantage les cas de mauvaise gestion, de corruption et de chicane. Mais les résultats de notre plus récent sondage confirment ce que nous remarquons dans les nombreuses études que nous réalisons auprès des villes québécoises. Règle générale, ces dernières sont dynamiques, bien gérées et à l’écoute de leurs citoyens.
Et ce dynamisme, cette bonne gestion et cette écoute se répercutent directement sur le niveau de bonheur de leurs populations. Les données ne pourraient être plus parlantes et confirment l’importante influence qu’ont les villes sur le sentiment de bien-être ou de bonheur de leurs citoyens.
Plus les citoyens se disent d’accord avec ces affirmations, plus leur IBL (indice de bonheur Léger) est élevé.
Les villes représentent notre milieu de vie quotidien. Elles ont la lourde responsabilité de créer des environnements sains et propices à l’épanouissement de leurs citoyens afin qu’ils vivent des expériences . . . et les citoyens savent apprécier les efforts et les actions que leur ville met en place pour y arriver.
La Métropole et la Capitale, victimes de leurs statuts?
C’est une hypothèse, car pour trois des quatre éléments sondés, l’évaluation que font leurs citoyens est en dessous de la moyenne. Moins à l’écoute, moins verte et moins bien administrées, il n’y a que pour le dynamisme et les activités ou événements proposés que Montréal et Québec se distinguent favorablement.
