Vivez-vous vos rêves ou rêvez-vous votre vie?

Si j'étais à votre place, je crois que j'opterais pour la première partie de la question, même si ce n'est pas évident tous le jours. Vivre ses rêves, c'est probablement ce qui est le plus exigeant, mais aussi le plus gratifiant. Vivre ses rêves, c'est également exprimer ses passions plutôt que les refouler. Chose certaine, le bonheur, lui, se nourrit de passions et de rêves. Il en mange au petit déjeuner et en redemande au souper. Les rêves et les passions sont au bonheur ce que le krill est à la baleine :-) Vous ne me croyez pas? Vous doutez? D'accord. Alors allons-y avec quelques chiffres...c'est ma spécialité. Le quart de la population admet qu'il leur arrive souvent de ne pas aller au bout de leurs rêves, de leurs idées ou de leurs projets et que cela les irrite et les agace: IRB moyen: 65,20. Ceux par contre qui ne ressentent aucunement cette agacement ou irritation: IRB moyen de 84,80. L'IRB  de ces derniers est-il plus élevé parce qu'ils n'ont pas de rêves ou de passions ou plutôt parce qu'ils essaient de les vivre au maximum? J'opterais pour la deuxième option. Pourquoi? C'est simple, parce que les personnes qui admettent vivrent la vie dont ils rêvaient ont un IRB moyen de 89,70 alors que celui des personnes qui ne vivent pas vraiment la vie dont ils rêvaient est de 51,40. Trente huit points d'écart. Ai-je besoin d'en ajouter? Je l'ai toujours dit. Les rêves et la passion sont le carburant de la vie. Alors vivez les et, de grâce, foutez-vous un peu du reste.